• Miss Potter

Publié le par 67-cine.gi-2007













Miss Potter comédie dramatique de Chris Noonan




avec :
Renée Zellweger, Ewan Mcgregor, Emily Watson, Barbara Flynn, Bill Paterson, Matyelok Gibbs, Lloyd Owen, Anton Lesser, David Bamber, Patricia Kerrigan, Judith Barker, Christopher Middleton, Lucy Boynton, Oliver Jenkins, Richard Mulholland, Sarah Crowden, Bridget Mcconnel, Lynn Farleigh, Geoffrey Beevers, Clare Clifford, Phyllida Law, John Woodvine, Marc Finn, Jane How, Perdita Weeks, Jennifer Castle, Avril Clark, Joseph Grieves et Andy Mcsorley


durée : 1h33
sortie le 28 février 2007

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Synopsis
À l’époque de l’Angleterre victorienne, Beatrix aurait seulement dû rêver d’un beau mariage, comme toutes les jeunes femmes de sa condition, mais elle s’intéressait à beaucoup trop de choses. La nature et les animaux la fascinaient, tout comme les sciences, le dessin et la peinture.
Il n’aura fallu qu’une lettre illustrée pour que son destin bascule, il aura fallu tout son courage pour qu’elle puisse vivre, aimer et exister comme aucune femme avant elle.
Elle a racheté les immenses paysages de la campagne anglaise qui l’ont inspirée pour en faire don aux générations futures, et aujourd’hui ses livres se vendent toujours autant.
Mais, au-delà de son oeuvre, Beatrix Potter était une femme exceptionnelle, aussi avant-gardiste qu’imaginative, aussi fragile que puissante. Il est temps de découvrir sa fascinante histoire...


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Les notes de production
Beatrix Potter est un des plus célèbres auteurs de livres pour enfants. Son univers merveilleusement écrit et illustré ont fait d’elle une légende de la littérature, et son oeuvre fait depuis longtemps partie de notre imaginaire collectif. Plus d’un siècle après la parution de son premier livre, dans le monde entier, ses histoires et ses personnages sont toujours adorés des petits et des grands.
Au-delà de son oeuvre, Beatrix était une femme à part, engagée, émouvante, libre et consciente de l’importance de la nature bien avant l’heure. A travers ses histoires, elle l’a magnifiée, à travers sa vie, elle l’a protégée. En trouvant le courage d’être elle-même, cette jeune femme a ouvert une voie que rien n’a depuis effacée. Miss Potter raconte sa fascinante destinée.

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Un nom célèbre, une femme méconnue
Renée Zellweger se souvient : « Lorsque j’ai refermé le scénario, j’ai eu l’impression de connaître parfaitement Beatrix Potter. Je savais précisément qui elle avait été et ce qu’elle avait vécu. »
Lorsqu’elle a accepté d’incarner Beatrix Potter, Renée Zellweger s’est engagée dans un voyage de découverte à la rencontre de l’artiste qui a créé Pierre Lapin, Tom Chaton, Monsieur Tod, la famille Flopsaut, Sophie Canétang, Madame Trotte-Menu, Jérémie Pêche-à-la-ligne et tous leurs amis. Elle connaissait tous ces personnages, mais savait peu de choses de la femme elle-même.
Renée Zellweger explique : « Il y avait tant de contradictions entre ce qu’elle espérait de la vie et les choix qu’elle a faits... Cela rendait passionnante l’exploration de cette femme. Comment trouver la meilleure façon de l’incarner avec authenticité ? Comment rassembler les pièces du puzzle ? Rien n’était facile, rien n’était évident. »
Chris Noonan, le réalisateur, commente : « Il y a une réelle spontanéité dans l’interprétation de Renée. On sait qu’elle a un sens de l’humour subversif, teinté d’anarchie, et quand on se penche davantage sur la femme qu’était Beatrix, on découvre qu’elle avait une intelligence aiguisée, et qu’elle était bien plus haute en couleur que ce que l’on pourrait supposer. Elles partagent de nombreux traits de caractère. »
Miss Potter était une artiste très douée, et si elle n’avait pas été une femme, ses dessins de botanique auraient été reconnus partout dans le monde. C’était une libre- penseuse, un esprit indépendant qui tomba amoureuse de son éditeur, contre toutes les conventions sociales. Elle a laissé en héritage des livres et des dessins qui enchantent chaque nouvelle génération depuis un siècle. Et pour que la campagne qu’elle aimait reste aussi belle que lorsqu’elle l’a découverte, elle a légué ses vastes terres à l’organisme chargé de la préservation du patrimoine anglais, le National Trust.
Chris Noonan commente : « La plupart des gens ignorent tout de sa vie. J’avais pour ma part dès le début la vision d’une femme moderne placée dans le contexte social étouffant du début du XXe siècle. »
C’est au printemps 2004 que le réalisateur australien est venu rejoindre le projet de Miss Potter. Il raconte : « Plus je lisais de documents sur Beatrix Potter, plus j’étais fasciné par cette femme, sa vie et ce qu’elle a accompli. »
Le réalisateur de Babe, le cochon devenu berger a attendu dix ans avant de choisir son nouveau film. « On m’a proposé tous les projets possibles et imaginables, mais aucun ne m’enthousiasmait vraiment. Et quand moi je trouvais quelque chose d’intéressant, les producteurs n’avaient pas la même vision des choses. »


Le parcours de Miss Potter jusqu’aux écrans de cinéma n’a pas été facile. Richard Maltby Jr., auteur plusieurs fois récompensé pour ses comédies musicales Ain’t Misbehavin, Fosse et Ring of Fire, a écrit le scénario au tout début des années 1990. Il raconte : « Je connaissais Beatrix Potter parce que mes enfants étaient très jeunes à l’époque. Nous avions tous ses livres. J’avais lu le texte de présentation et on y disait qu’elle ne s’était pas mariée. Elle a écrit les livres, est partie vivre dans la région des lacs, et ensuite elle a cessé d’écrire. »
« J’ai trouvé surprenant qu’une femme avec une vie intérieure et une imagination si vive arrête d’écrire. J’ai alors trouvé une biographie d’elle quand j’étais en vacances. Je l’ai lue, et j’ai été encore plus intrigué. »
Il a alors écrit un scénario, qui a retenu l’attention du producteur David Kirschner. Celui-ci collectionne les ouvrages de littérature enfantine depuis l’âge de huit ans, et possède des éditions originales des oeuvres de Beatrix Potter, de Peter Pan et d’autres classiques de la littérature anglaise.
Ce projet ne pouvait donc que l’intéresser...
Pendant presque dix ans, David Kirschner et son associée à la production Corey Sienega ont essayé de monter le projet. C’est finalement une rencontre fortuite entre l’agent de Richard Maltby et David Thwaites de Phoenix Pictures au Festival de Sundance en 2003 qui a donné le coup d’envoi. David Thwaites se souvient : « L’agent de Richard m’a dit : Vous êtes anglais, vous allez adorer ce script ! . »
David Thwaites a ramené le scénario et l’a proposé à ses collègues de Phoenix, Mike Medavoy et Arnold Messer, qui ont été aussi enthousiastes que lui. Thwaites commente : « Pour moi, l’instinct que l’on ressent vis-à-vis d’un scénario naît du plaisir que l’on tire de la toute première lecture. Miss Potter était une histoire formidable, prenante, passionnante, émouvante et inhabituelle, parce qu’elle parle d’un nom connu mais d’une femme méconnue. »
David Kirschner Productions et Phoenix Pictures ont d’abord dû obtenir l’accord des éditeurs, Frederick Warne & Co. Ceux-ci ont approuvé le scénario et se sont impliqués dans la production dès le tout début, offrant leur aide, des conseils et de précieuses informations et documents de recherche.
Le scénario de Richard Maltby raconte l’histoire personnelle de Beatrix Potter. Il parle de son amour pour son éditeur, Norman Warne, et de ses efforts pour mener une vie indépendante alors que la société attendait d’elle qu’elle devienne une épouse conformiste. On découvre une femme dont la vie était un fascinant mélange de réussite professionnelle et de chagrin personnel, une femme en avance sur son temps...
Les parents de Beatrix Potter, des gens conventionnels et attentifs aux convenances, désireux de s’élever socialement, ne considéraient pas les histoires de leur fille adolescente sur les animaux et les dessins qui les accompagnaient comme présentant un intérêt particulier. Il se sont montrés encore moins enthousiastes à propos de son affection pour un homme exerçant «dans le commerce» et espéraient pour elle un mari plus acceptable. Ils ont insisté pour que leur relation reste secrète. Pour sa mère, en particulier, Beatrix était un mystère et une profonde déception. Son père partageait avec sa fille un tempérament d’artiste : il était un talentueux photographe amateur, à l’aube de cette nouvelle technologie. Il avait les moyens de s’offrir ce passe-temps coûteux. Il est pratiquement certain qu’aucun de ses deux parents n’a réellement compris l’étendue du talent de Beatrix.
Le producteur David Kirschner raconte : « Beaucoup de réalisateurs se sont montrés intéressés par le projet. Pour moi, voir les personnages du point de vue de cette femme solitaire et brillante était ce qui distinguait le film de la vision traditionnelle d’une histoire d’amour victorienne. Cela permettait de faire quelque chose de différent. »
« Je dois avouer que Chris Noonan ne figurait pas sur ma première liste de réalisateurs, mais quand j’ai appris qu’il était intéressé, j’ai trouvé ça fabuleux ! J’ai sans doute vu plus de fois Babe que lui, j’adore ce film ! Chris a apporté à Miss Potter sa douceur, sa sensibilité et un petit côté fantastique sans jamais se montrer trop sentimental. »
Renée Zellweger se souvient : « Chris Noonan a rejoint le projet environ un an après moi. Je ne sais plus qui a suggéré son nom, mais cela semblait une évidence. Quand on lit le scénario, il est difficile de croire que ce n’est pas de la fiction. Cette femme a eu une vie haute en couleur, avec beaucoup de hauts et de bas - ça en est presque dickensien ! Cela aurait pu tourner au mélo avec un autre réalisateur, mais il n’y avait aucun danger avec Chris Noonan : il est sur la retenue, il cherche davantage l’honnêteté que le côté dramatique, la réalité que le conte de fées. »
« Il savait très exactement comment raconter cette histoire. Chris a un sens du jeu et une curiosité enfantine, il regarde toujours tout autour de lui, il découvre, il parle avec tout le monde... Entre cette femme qui a créé ces histoires merveilleuses qui parlent aux enfants, et Chris avec sa curiosité et sa gentillesse, l’accord était parfait. »


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Beatrix Potter Eléments biographiques
Beatrix Potter est née en 1866 dans le quartier de Bolton Gardens, à Kensington, une paisible banlieue de Londres. Ses parents venaient tous deux de familles aisées du Lancashire tirant leurs revenus du coton, appartenant à cette nouvelle classe moyenne qui avait fait fortune pendant la révolution industrielle. Le père de Beatrix, Rupert Potter, avait fait des études de droit mais n’exerçait pas et menait une vie oisive, passant ses journées à son club avec ses amis artistes et hommes politiques. Sa mère, Helen, se consacrait aux thés avec ses amies et à la gestion de la vie du foyer et de ses cohortes de domestiques.
Beatrix avait un frère, Bertram, de six ans son cadet. Malgré la différence d’âge, les deux enfants étaient proches et partageaient le même amour de la campagne, des animaux et du dessin.
Beatrix a été élevée comme toutes les jeunes filles de la classe moyenne de l’époque victorienne. Une nourrice veillait sur elle et son instruction était assurée par des gouvernantes. Ses parents l’ont encouragée à développer ses talents artistiques et se sont montrés bienveillants vis-à-vis de son enthousiasme pour l’histoire naturelle. Ils l’ont emmenée visiter des galeries d’art et des expositions, et lui ont offert des cours de dessin. Beatrix et son frère avaient toutes sortes d’animaux dans leur salle d’étude en haut de leur maison : des lapins, des souris, des lézards, des tritons, un serpent, une chauve-souris et une grenouille. Les enfants étudiaient et dessinaient ces créatures avec une précision scientifique. Chaque été, le père de Beatrix, qui aimait la pêche et la photographie, louait une grande maison en Écosse ou dans la région anglaise des lacs, et Beatrix était alors libre d’explorer la campagne environnante et d’observer les plantes et les animaux dans leur milieu naturel.
Une fois son éducation achevée, Beatrix, comme la plupart des jeunes femmes de l’époque, est restée chez elle avec ses parents. Elle s’occupait à peindre et à étudier l’histoire naturelle. Elle s’intéressait particulièrement à l’étude des champignons. Cependant, étant une femme, et amateur, il était difficile pour elle de s’introduire dans les cercles scientifiques de l’époque, et elle finit par abandonner l’espoir de voir son travail reconnu à sa juste valeur. Avec l’aide de son frère, elle se mit alors à vendre ses dessins et peintures d’animaux dans des scènes imaginaires pour des cartes de voeux ou des illustrations de livres.
Beatrix se montrait toujours heureuse d’utiliser son talent pour divertir ses jeunes amis. Lorsqu’elle quittait Londres, elle envoyait aux enfants de sa dernière gouvernante, Annie Moore, des lettres délicieusement illustrées, pleines d’anecdotes sur ses animaux familiers. En septembre 1893, alors qu’elle se trouvait en vacances dans le Perthshire, en Ecosse, elle envoya une histoire spéciale au plus âgé des petits Moore, Noel, qui avait été malade et avait besoin de réconfort. Cette histoire, dont le héros était son lapin, Peter, allait par la suite devenir le premier livre de Beatrix Potter, The Tale of Peter Rabbit (Pierre Lapin).
Ce n’est que plusieurs années plus tard que Beatrix décida d’essayer de développer la lettre pour en faire un petit livre. Elle envoya le manuscrit à au moins six éditeurs, mais tous refusèrent, et elle décida de le publier elle-même. En décembre 1901, elle édita à compte d’auteur 250 livres, qu’elle vendit grâce à ses amis et relations. Le livre connut un tel succès qu’elle dut commander une réimpression.
Encouragée par l’accueil réservé à son livre, Beatrix essaya à nouveau de trouver un éditeur commercial. Frederick Warne & Co., l’une des firmes qui avaient rejeté son manuscrit l’année précédente, accepta le projet, à condition qu’elle retravaille toutes les illustrations en couleurs.
The Tale of Peter Rabbit a été publié par Frederick Warne en octobre 1902, et a été immédiatement un best-seller. Les 8 000 exemplaires de la première édition ont été vendus en pré-commande avant même la publication, et à la fin de l’année, 28 000 exemplaires avaient été imprimés.
Frederick Warne & Co. demanda naturellement d’autres ouvrages à son nouvel auteur, et Beatrix fut heureuse d’accepter. Au cours des trois années suivantes, elle écrivit et illustra sept autres histoires, qui furent toutes accueillies avec le même enthousiasme. Elle devint l’auteur le plus vendu de la société d’édition.
A cette époque, la firme était dirigée par trois frères, fils du fondateur. Beatrix devint amie avec toute la famille. Elle leur rendit visite chez eux, rencontra les enfants des deux frères aînés, et devint amie avec la soeur, Millie. C’est avec le plus jeune des trois frères, Norman, son éditeur, qu’elle noua la relation la plus proche. Ils travaillaient ensemble sur le développement de ses livres. En juillet 1905, il lui demanda de l’épouser et malgré l’opposition des parents de la jeune femme, qui considéraient un éditeur comme un marchand et donc un parti qui ne convenait pas à leur fille, Beatrix accepta. Malheureusement, le mariage n’eut jamais lieu. Norman tomba malade, d’une forme de leucémie, et il mourut quelques semaines après leurs fiançailles.


Beatrix fut dévastée par cette tragédie. Un peu plus tôt la même année, elle avait utilisé une partie de ses gains pour acheter une ferme, Hill Top, dans la région des lacs, la partie de l’Angleterre qu’elle aimait le plus. Après la mort de Norman, elle y passa le plus clair de son temps, puisant un peu de réconfort dans ses longues promenades dans la campagne et dans son travail sur ses livres.
Au cours des années suivantes, elle continua à écrire de nouvelles histoires, au rythme d’une ou deux par an. En 1913, elle rencontra un notaire de la région de Cumbria, William Heelis. Après leur mariage, Beatrix s’installa définitivement dans la région des lacs, et cessa peu à peu d’écrire et de peindre pour se consacrer à l’élevage des moutons et à la conservation du patrimoine : elle travaillait avec le fonds de protection du patrimoine nouvellement créé, le National Trust, pour la protection des régions menacées. Avec l’aide de son mari, elle continua à acheter des fermes et d’autres propriétés. Au moment de sa mort, en 1943, à l’âge de 77 ans, elle avait acheté plus de 1 600 hectares de terres dans la région des lacs. Elle les légua au National Trust au bénéfice des générations futures. Aux enfants du monde entier, elle laissait 23 histoires.

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Fiche technique
Réalisateur : Chris Noonan
Scénariste : Richard Maltby Jr
Chef décorateur : Martin Childs
Superviseur artistique : Mark Raggett
Directeur artistique : Grant Armstrong
Ensemblière : Tina Jones
Directeur de la photographie : Andrew Dunn
Directrice de casting : Priscilla John
Chef costumier : Anthony Powell
Supervision des costumes : Rosemary Burrows
Chef monteur : Robin Sales
Maquillages et coiffures : Lisa Westcott
Conseillère historique : Jenny Uglow
Etiquette/Chorégraphies : Sue Lefton
Ingénieur du son : Peter Lindsay
Coordinateurs des cascades : Paul Herbert et Peter Pedrero
1er assistant réalisateur : Guy Heeley
Steadicam / Cadreur caméra A : Gerry Vasbenter
2e assistant réalisateur : Phil Booth
Producteurs : Mike Medavoy, David Kirschner, Corey Sienega, Arnold Messer et David Thwaites
Producteurs exécutifs : Renée Zellweger, Nigel Wooll, Louis Phillips et Steve Christian
Directeur de production : Simon Crook
Coordinatrice de production : Diane Chittell
Coordinateur de production et de postproduction Phoenix Pictures : Jason Ninness
Supervision du script : Sue Hills
Superviseur de postproduction : Emma Zee
1er assistant monteur : Jonathan Sales
Superviseur et producteur de la musique : Maggie Rodford pour Air-Edel
Chef électricien : David Smith
Chef constructeur : Steve Ede
Ensemblière (Ecosse) : Elaine Mclenachan
1er assistant réalisateur (Ecosse) : George Walker
Peintre décorateur : Howard Weaver
Chef accessoiriste : Allen Polley
Chef accessoiriste (Ecosse) : Micky Woolfson
Régisseur d’extérieurs (Londres) : Martin Joy
Régisseuse d’extérieurs (Lake District) : Beverley Lamb
Régisseur d’extérieurs (Ecosse) : Derek Yeaman
Régisseur d’extérieurs (Ile de Man) : Eddie Booth
Administrateur de production (Lake District) : David Campbell-Bell
Chevaux et attelages animaux : Steve Dent
Superviseur montage son : Animals O Kay
Monteuse dialogues/ADR : John Downer
Mixage son : Sarah Morton, Brendan Nicholson et Richard Pryke
Coordinatrices de postproduction : Andrew Caller et Alexandra Montgomery
Musique dirigée par : Faye Stevens
Orchestrations : Benjamin Wallfisch, Nigel Westlake, Benjamin Wallfisch, Rachel Portman et Jeff Atmajian
Deuxième équipe
Directeur de la photographie
Chef machiniste : Alan Stewart
1er assistant réalisateur : Jim Boorer et Tom Brewster
Effets visuels
Superviseur effets visuels : Cinesite (Europe) Ltd.
Producteur effets visuels : Simon Stanley-Clamp
Effets spéciaux : Clare Norman
Superviseur effets spéciaux : Darkside Effects
Location costumes : Victoria Williams
Studio de mixage : Cosprops
National Trust : Pinewood Studios et National Trust London
Train à vapeur et installations : National Trust Cumbria
Musique enregistrée chez : Bluebell Railway et Angel Recording Studios, Londres
Musique mixée chez : Air-Edel recording Studios, Londres

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présentation réalisée avec l’aimable autorisation de

remerciements à Amandine Dayre, Mathieu Piazza et Mounia Wissinger
logos, textes & photos © www.bacfilms.com

Publié dans PRÉSENTATIONS

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